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"Mieux vaut fuir l'homme en colère pour un instant ; les haineux pour toujours."
Aux yeux de la Loi, un gredin qui la tourne est moins à craindre en son action qu'un homme de bien qui la discute avec sagesse et clairvoyance.
L'éloge des absents se fait sans flatterie
L'homme est un apprenti, la douleur est son maître
Le coeur de l'homme parfait est comme une mer dont on ne peut découvrir les lointains rivagesOn peut fendre un rocher ; on ne peut pas toujours attendrir un coeur
Vaincre la colère, c'est triompher de son plus grand ennemi
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PATIENCE
J'ai tant patientéTu devais m'orienté
Ton amour,je m'en suis lassé
Mon coeur n'est plus que désertique
Je me noie dans mes sentiments
Ma bouée serait ton pardon
ma survie n'est pas ta préocupation
Je ne peux te toucher,t'es un vrai porc-épic
Dans les contes de fée
Les histoires finissent bien
Sauf que dans le mien
Rien n'a l'air parfait
En toi tout se bouscule
De m'éprise à enprise
Ton coeur bascule
Suite à ta colère,à toi même tu es soumise
M'aimer?,m'oublier?,que faire?
Crier?,Gueuler?me taire?!
Un prince dans la dépression
C'est tout un trône remis en question
Offrir un bouquet de roses
Ou passer à autre chose?
Après la pluie vient le beau temps
Je serai donc perséverant
Longtemps durera ta rancune
Mais en moi tu as bâti un palace
Des filles??non aucune
Pas une seule n'occupera ta place
Comment pense un mec?je l'ignore
Je ne serais jamais de leurs
Quand ils aiment,ils sont meilleurs
Parce qu'ils aiment fort!!DESESPOIR
Il t'a promis la lune
Des vacances sur une île
Tu étais sa prune
Il te comparait au nil
Te voilà aujourd'hui
Toute seule,sans lui
Il t'a trompé et est parti
Parti pour la vie
Ne jamais croire en l'amour
A ron âge...c'est tôt!
Laisses passer les jours
Ton homme viendra bientôt
Tes parents ont raison
Ils n'ont pas eu tor
Tu as gouté au poison
Maintenant tu t'en dors.LES SECRETS DE LA NUIT
Son atmosphère douce et paisible,
Relaxe et apaise nos pensées!
En nous épargnant des choses nuisibles,
Que nous prévoie la journée.
Dans une barque,seule sur une rivière,
Je vois la lune si belle et si jaune!
Les grdes feuilles l'entourent devnt et derière
Et font d'elle une reine sur un trône.
Une mélodie se fait entendre,
Quelques branches se cassent..
Je me fais surprendre,
Ainsi mon coeur se tracasse.
La douce couleur du feuillage vert
Qui couvre la surface des plateaux
nous permet de voir au travers
Du mnde où nos espoirs de vie sont dans les hopitaux.
Elle est si tendre et belle
Avec son charme attirant.
Et ses quelques airs de rebel
Repoussent les petits enfants!
La nuit nous donne du plaisir
En contemplant ses oeuvres,
C'est prq beaucoup d'entre nous désirent,
Sortir tard,contempler son chef-d'oeuvre
Il n'y a donc pas de secrets
Pour moi la nuit c'est l'amour
Car tout est discret,
Nos sentiments deviennent moins lourd
La nuit,les astres dans le ciel
Nous offrent un sourire divin,
Ce moment est partiel,
Il nous ennivre de son air pure et sain!Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage de Joachim du Bellay
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d'usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son âge !Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village
Fumer la cheminée, et en quelle saison
Reverrai-je le clos de ma pauvre maison,
Qui m'est une province, et beaucoup davantage ?Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux,
Que des palais Romains le front audacieux,
Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine :Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin,
Plus mon petit Liré, que le mont Palatin,
Et plus que l'air marin la doulceur angevineSerment
Avant que tu sois né,
Dans le ventre de ta mère, tu étais déjà condamné,
Par force et brutalité,
Ta mère sera privée de liberté.
Malgré son regard d'effroi et ses hurlements
Rien n'arrêtera son tourment,
Ses cris de douleur secouent son corps,
Pauvre coeur pétrifié par la mort.
Et toi, mon petit qui se débat sans armure,
Jusqu'à ton dernier murmure
De toi, on prendra ta chair et ton cuir,
De cette horreur, tu ne pourras t'enfuir.
Tes cris de douleur résonnent et grondent comme l'orage,
Ils enflent mon coeur à le faire éclater comme un hommage,
Cette souffrance sans cesse renouvelée,
Comme une offrande sous un ciel etoilé.
Que tu viennes de la terre,
Ou des nuits profondes de la mer,
Envoûtante Relique,
Dans cette Basilique,
Je te fais le serment,
A genoux solennellement
De te porter secours,
Jusqu'à la fin de mes jours.
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Les angoisses que j'avais lorsque je ressentais un évènement dramatique, ont été difficile à contrôler, j'avais l'impression que je n'avais plus la maîtrise de mon esprit, tout se mélangeait dans ma tête : des images; des voix;j'avais vraiment peur de devenir fou, par la douleur que cela me procurais. Mais avec le temps, j'ai appris à gérer cette sensation et je là sens arriver à l'avance.
J'avais ma grand-mère qui pratiquait la voyance, elle disait parler aux morts, elle faisait tout un tas de choses que je trouvais stupide à l'époque. Un jour elle est tombé malade subitement, elle est allée à l'hôpital, immédiatement, nous sommes allé la voir avec mes parents. Je l'ai regardé, je lui ai parlé et j'ai dit à ma mère : "ne t'inquiète pas maman, elle va aller mieux bientôt", sur ces bonnes paroles, ma mère cessa de pleurer. Une semaine plus tard, nous apprîmes, qu'elle était sortie de l'hôpital en pleine forme. Un grand soulagement pour ma famille et moi, mais je le savais au fond de moi, donc je n'étais pas plus surpris que ça.
Quelques années plus tard, ma grand-mère maternelle, soit la même susdit, est tombée de nouveau malade, nous étions partis la voir à l'hôpital, moi j'y étais allé avec mon ex-copine, nous avions vu le médecin de la clinique, qui nous avait affirmé qu'elle n'était pas trop malade, c'était une simple crise de fatigue. Lorsque nous étions entrés dans sa chambre, j'ai eu un très mauvais pressentiment, une sensation de mal être et soudain j'ai eu des visions de mort, je sentais que c'était ses dernières heures. Cette sensation était horrible, j'ai appelé le médecin et je lui ai dit qu'il fallait la soigner, car elle était mourante. Ce docteur m'avait dit que j'étais trop stressé, que ses résultats de prise de sang étaient très positifs, donc pas d'inquiétude, il m'a même dit qu'elle allait sortir de l'hôpital, j'étais sous le choc. Je sentais tout le contraire.
Le lendemain de cette journée passée à l'hôpital à dire au revoir à ma grand-mère, m'avais fait du bien, car j'avais senti son départ vers l'autre monde. Je n'avais rien dit à mes parents cette fois-ci, car ils auraient pensés, que j'attirais la mal chance ou le malheur. Le surlendemain mon ex-copine m'a téléphoné au travail, pour me dire que mon père l'avait appelé, afin de lui annoncer la mort de Marie louise, ma grand mère, il n'avait pas osé me le dire, pensant que cela m'aurait blessé et m'aurait empêché de continer le travail. Or, je le savais, donc mon ex-copine m'a dit ce jour : "Kurt tu avais raison, ta grand mère était mourrante, le médecin s'est trompé, ceci est incroyable qu'il n'est pas voulu t'écouter, enfin bref, au moins on lui a dit au revoir, je t'embrasse, à ce soir".
Cette vision m'avait complètement anéantie, je ne souhaitais vraiment plus rien savoir, ni voir, ni même sentir quoique ce soit, cela me faisait trop de mal, surtout lorsque l'on voit à l'avance la mort de ses proches. J'ai essayé de toutes mes forces de ne plus rien resentir, et là j'ai eu des angoisses énormes, car je refoulais tous sentiments.
Pour Toi Grand mère
http://ekladata.com/divination-medium.eklablog.com/mod_article2778502_3.gif http://ekladata.com/divination-medium.eklablog.com/mod_article2778502_6.gif
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Je me suis souvent demandé pourquoi je me sentais différent des autres, j'avais toujours une sensation de mal être, l'impression de pas être compris ou pris au sérieux, donc j'ai évolué en me renfermant sur moi même. Et un jour, j'ai rencontré un ami, très masculin, fort d'esprit, un caractère difficile, mais un coeur énorme. Celui-ci m'a appris à avoir confiance en moi, il me mettais en valeur, donc cela m'a apporté beaucoup, je lui suis reconnaissant de m'avoir donné cette confiance. J'ai commencé a reparler de mes visions, mes sensations étranges, il m'écoutait et ne portait aucun jugement, donc à plusieurs reprises je lui ai donné des conseils, comme par exemple, je me souviens très bien du jour où j'ai eu une vision d'un accident de voiture qu'il aurait, un samedi soir en sortant de discothèque, je ne savais même pas où il se trouvait à ce moment précis, je l'ai donc appelé immédiatement, en le harcelant au téléphone, au bout d'une quinzaine de coups de fils, il avait enfin décidé de me répondre, je lui avais dit : "ne prend pas ta voiture, je sens que tu va avoir un problème, tu as bu de l'alcool, alors prend un taxi ou appel un de tes amis", lui m'avait répondu : "non je n'ai pas trop bu, je vais bien merci du renseignement". Visiblement, il ne m'avait pas pris au sérieux, mais il s'est souvenu de mes paroles lorsqu'il a pris sa voiture pour retourner chez lui, et là un drame s'est produit, il a eu un accident, qu'il a pu minimiser, car il s'est rappelé de mes dires au préalable au téléphone, à cet instant.
Le lendemain je lui avais téléphoné, il m'avait dit : "tu es un sorcier, j'ai eu un problème hier soir, un accident de voiture, le véhicule est mort, mais moi je n'ai que quelques blessures sans gravités".
J'avais encore une preuve que je n'étais pas fou, ni quoique se soit, j'avais réellement des visions flashs, qui me donnaient des angoisses.
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Tout a commencé lorsque j'étais très jeune, je voyais des évènements qui allaient de produire. J'en étais effrayé, alors j'avais pris l'initiative d'en parler à ma mère, qui à cette époque, qui m'avait dit : "Chaque enfant a un monde imaginaire et à moi aussi sa m'arrive de croire que je suis déjà passé par cette rue, ou d'avoir déjà vécu ce moment,..."Je n'étais pas convaincu par ces explications, mais je l'avais cru sur parole, (à sa mère quand on et petit on écoute, on croit tout, quand on est bien éduqué et naïf).
Mais, plus le temps a passé et plus j'ai eu des visions, qui se sont produites, alors j'avais essayé d'expliquer à mes parents, que ce n'était pas de mon imagination, car je ressentais aussi, comme des frissons et des coups de mille épingles qui traversaient tout mon corps.
Lorsque j'ai eu cette discussion, mes parents ont pris la décision de me faire consulter un psychologue, croyant que j'avais un problème de schizophrénie ou une autre pathologie de ce genre. Il était évident pour eux, que je n'étais pas normal, que j'avais un problème. Je suis donc allé aux séances, je n'avais pas trop le choix, mais je restais muet, je ne souhaitais pas parler à un inconnu qui n'aurait rien compris et qui aurait immédiatement donné une conclusion de maladie psychologique.
Les visites chez ce spécialiste, ont vite cessées, car il ne voyait en moi qu'un enfant réservé, intelligent, un peu renfermé sur moi-même, lié à un manque d'écoute de mes parents et de leur confiance. Donc j'avais décidé, de ne plus parler de mes visions, et ce que je ressentais, ce qui a généré des angoisses, que j'aie dû gérer seul et en silence.
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