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    Je me suis souvent demandé pourquoi je me sentais différent des autres, j'avais toujours une sensation de mal être, l'impression de pas être compris ou pris au sérieux, donc j'ai évolué en me renfermant sur moi même. Et un jour, j'ai rencontré un ami, très masculin, fort d'esprit, un caractère difficile, mais un coeur énorme. Celui-ci m'a appris à avoir confiance en moi, il me mettais en valeur, donc cela m'a apporté beaucoup, je lui suis reconnaissant de m'avoir donné cette confiance. J'ai commencé a reparler de mes visions, mes sensations étranges, il m'écoutait et ne portait aucun jugement, donc à plusieurs reprises je lui ai donné des conseils, comme par exemple, je me souviens très bien du jour où j'ai eu une vision d'un accident de voiture qu'il aurait, un samedi soir en sortant de discothèque, je ne savais même pas où il se trouvait à ce moment précis, je l'ai donc appelé immédiatement, en le harcelant au téléphone, au bout d'une quinzaine de coups de fils, il avait enfin décidé de me répondre, je lui avais dit : "ne prend pas ta voiture, je sens que tu va avoir un problème, tu as bu de l'alcool, alors prend un taxi ou appel un de tes amis", lui m'avait répondu : "non je n'ai pas trop bu, je vais bien merci du renseignement". Visiblement, il ne m'avait pas pris au sérieux, mais il s'est souvenu de mes paroles lorsqu'il a pris sa voiture pour retourner chez lui, et là un drame s'est produit, il a eu un accident, qu'il a pu minimiser, car il s'est rappelé de mes dires au préalable au téléphone, à cet instant.

     

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    Le lendemain je lui avais téléphoné, il m'avait dit : "tu es un sorcier, j'ai eu un problème hier soir, un accident de voiture, le véhicule est mort, mais moi je n'ai que quelques blessures sans gravités".

    J'avais encore une preuve que je n'étais pas fou, ni quoique se soit, j'avais réellement des visions flashs, qui me donnaient des angoisses.

     

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    Contact 24h/24h 7j/7jLes oracles grecs constituent un aspect fondamental de la religion et de la culture grecques. L'oracle est la réponse donnée par un dieu à une question personnelle, concernant généralement le futur. De tels oracles ne peuvent être rendus que par certains dieux, dans des lieux précis, sur des sujets déterminés et dans le respect de rites rigoureusement respectés : la prise d'oracle s'apparente à un culte. L'interprétation des réponses du dieu, qui s'exprime de diverses manières, demande parfois un apprentissage et l'oracle nécessite, en général, une interprétation heuristique, il s'agit souvent d'une parole énigmatique, sibylline (Sibylle était une prêtresse d'Apollon et une oracle, dans la mythologie grecque).

     

    Par extension et déformation, le terme d'oracle désigne aussi le dieu consulté, l'intermédiaire humain qui transmet la réponse ou encore le lieu sacré où la réponse est donnée. La langue grecque distingue ces différents sens : parmi de nombreux termes, la réponse divine peut être désignée par χρησμός / khrêsmós, proprement « le fait d'informer ». On peut aussi direφάτις / phátis, « le fait de parler ». L'interprète de la réponse divine est souvent désigné par προφήτης / prophêtês, "qui parle à la place [du dieu]", σίβυλλα/sibylla, ou

     

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    L'usage divinatoire du Tarot pourrait être daté de 1527 avec la parution du Chaos del Tri per uno, essai littéraire de lecture divinatoire avec les tarots de Teofilo Folengo écrit sous le pseudonyme de Merlin Cocai. Toutefois cette source est isolée et encore sujet à débats.

    C'est au cours des premières années du xviiie siècle à Bologne en Italie qu'est attesté le premier document connu avec la liste des cartes et leurs significations divinatoires1.

    Le rayonnement du Tarot divinatoire fondé sur le Tarot de Marseille ou le Tarot de Besançon prendra son essor en France avec Antoine Court de Gébelin.

    L'approche moderne des Tarots comme instrument d'interprétation (essentiellement divinatoire) prend sa source à la fin du xviiie siècle, en pleine période des Lumières, dans l’œuvre d’un érudit protestant célèbre à l’époque : Antoine Court de Gébelin2 avec son Monde Primitif3.

    Son travail sera repris et réinterprété dans les livres d'EtteillaJean-Baptiste Alliette dit Etteillaoccultiste du xviiie siècle penché sur la cartomancie4, inspiré par les écrits de Court de Gébelin, décida de restituer aux Tarots ce qu’il estimait être leur forme primitive et il en remodela l’iconographie5 ; il le baptisa Livre de Thot.

    Eliphas Lévi dénonça les erreurs d’Etteilla en affirmant que les 22 Triomphes correspondaient à 22 lettres de l’alphabet hébreu mosaïque, rapprochement déjà fait dans l'ouvrage de Court de Gébelin sous la plume du C. de M.6.

     

     

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  • La divination serait l'art (occulte) de découvrir ce qui est inconnu. Littré, positiviste, est sévère : "Art chimérique de savoir et de prédire l'avenir par des sortilèges ou de fausses sciences, telles que l'astrologie, la chiromancie, l'interprétation des songes, etc."[1] Mais, pour un partisan, la divination peut dévoiler non seulement l'avenir, mais encore le caché, c'est-à-dire le passé, les trésors, les maladies invisibles, les secrets, les mystères..., et cela par des moyens non rationnels, par exemple analogiques, kabbalistiques, psychédéliques, magiques, métapsychiques. Il y a, selon ceux qui y adhérent, connaissance paranormale de deux objets

     

     voilés, inconnus : connaissance paranormale de l'avenir (précognition), connaissance paranormale du caché (cryptesthésie)[2] ; et une multitude de procédés, spontanés ou codifiés, traditionnels ou modernes, populaires ou savants, licites ou interdits : astrologie, cartomancie, sorts, songes, boule de cristal, etc. ; chacun de ces procédés est un art divinatoire à l'intérieur de la science divinatoire, "science" au sens de "connaissance" (ou pseudo-science).

     

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    Le mot "divination" désigne en second lieu la faculté ou l'action, prétendues mais guère prouvées, soit de prédire (le futur) soit de deviner (le caché). Balzac décrit ainsi un de ses personnages, Étienne : "il avait trouvé de mystérieuses correspondances entre ses émotions et les mouvements de l'Océan. La divination des pensées de la matière dont l'avait doué sa science occulte, rendait ce phénomène plus éloquent pour lui que pour tout autre" (L'Enfant maudit, 1836, p. 386).
     
    Divination : voyance ou mantique

    On oppose depuis Cicéron la divination en deux branches : la voyance et la mantique, toutes deux étant des arts du pronostic, mais par des moyens différents. La voyance est naturelle, intuitive ("éclair", prophétisme...), c'est la divination des Sibylles et Pythies, la possession ; la mantique est artificielle, inductive, technique, on trouve là l'examen des entrailles d'animaux égorgés, l'astrologie, la cartomancie.

    Platon (Phèdre, 244) observe l'art divinatoire dans ses deux grandes formes, soit divine et délirante, soit humaine et raisonnée (teknikê) :



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    "[Divination intuitive, délire mantique] La prophétesse de Delphes, les prêtresses de Dodone ont, et justement quand elles sont en proie au délire (mania), rendu à la Grèce nombre de beaux services... Si nous devions parler de la Sibylle, de tous ceux qui, usant d'une divination inspirée, ont donné à nombre de gens, par nombre de prédictions, la droite direction en vue de leur avenir, nous allongerions inutilement notre propos... [Divination raisonnée] À preuve encore est cet autre art, qui est un art des gens ayant leur bon sens et l'employant à scruter l'avenir au moyen des oiseaux et des autres signes, les Anciens considérant qu'au moyen de la réflexion on procure ainsi à la croyance des hommes sagacité et information... Le délire, au témoignage de l'Antiquité, est une chose plus belle que le bon sens : le délire qui vient d'un dieu, qu'un bon sens dont l'origine est humaine."
    Cicéron (De la divination, I, 6) donne le texte canonique sur la distinction entre divination intuitive et divination inductive :

    "Il y a deux sortes de divination, l'une relève d'un art qui a ses règles fixes, l'autre ne doit rien qu'à la nature. Mais quelle est la nation, quelle est la cité, dont la conduite n'a pas été influencée par les prédictions qu'autorisent l'examen des entrailles et l'interprétation raisonnée des prodiges ou celle des éclairs soudains, le vol et le cri des oiseaux, l'observation des astres, les sorts ? - ce sont là, ou peu s'en faut, les procédés de l'art divinatoire - quelle est celle que n'ont point émue les songes ou les inspirations prophétiques? - on tient pour naturelles ces manifestations. Et j'estime qu'il faut considérer la façon dont les choses ont tourné plutôt que s'attacher à la recherche d'une explication. On ne peut méconnaître en effet l'existence d'une puissance naturelle annonciatrice de l'avenir, que de longues observations soient nécessaires pour comprendre ses avertissements ou qu'elle agisse en animant d'un souffle divin quelque homme doué à cet effet."

    Divination naturelle/artificielle, licite/interdite

    Une autre opposition a son importance en matière de divination : est-ce que les signes sont naturels, spontanés ou artificiels, provoqués ? Un songe est naturel, mais battre les cartes est artificiel. H. Leclerc oppose les divini (devins), "qui font des prédictions au moyen de signes indépendants d'eux-mêmes et en dehors de leur volonté", et les "sortilegi (faiseurs de sortilèges), qui opèrent "au moyen de signes qu'ils provoquent eux-mêmes"[4].

    Une opposition, politique, juridique, sociale, revêt une importance vitale, celle du permis, du légal, du moral, ou non. Dès les Romains, il faut savoir si telle divination est licite ou pas, telle pratique divinatoire licite ou pas.

    Historique
    L'astrologie remonte sans doute à la préhistoire, en tout cas aux Mésopotamiens.
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    La croyance des anciens Grecs en la possibilité de prédire l'avenir provient de l'idée que les dieux, de préférence quand on les priait, accordaient régulièrement des révélations par l'intermédiaire d'augures. Homère présente de grands voyants : Tiresias, Calchas, Cassandre. La Pythie de Delphes joue un rôle considérable dans la vie politique et religieuse. Dès Pythagore, les nombres servent à connaître le secret du monde. Artémidore d'Éphèse a laissé un traité sur la clef des songes demeuré classique : Onirocritique (IIe siècle).

    Les croyances des Grecs furent partagées par les Romains et subsistèrent jusqu'à la fin du paganisme. Varron (Ier siècle av. J.-C.), le premier, et de façon trop systématique, distingue les divinations selon les Éléments : géomancie (Terre), hydromancie (Eau), aeromancie (Air), pyromancie (Feu).

    Avec le christianisme, l'interdiction arrive. L'empereur romain Constance II, en 341, condamne à la peine capitale les devins.

    Le concile d'Agde, en 506, a regroupé dans la science divinatoire (divinationis scientia) les augures, les sorts, les songes.[5] Isidore de Séville, dans ses Etymologies (VIII, 9) assimile divination et magie, et il énumère les spécialistes : haruspices (par les entrailles des victimes), augures (par les éclairs, les oiseaux), pythonisses, astrologues, jeteurs de sorts. Le 4 ° concile de Tolède, présidé par Isidore de Séville en 633, distingue quand même les magiciens des devins (aruspices, arioli, augures, sortilegi)[6].

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    Dès le Xe siècle ou dès le VIII° avec Bède le Vénérable, la divination par pronostics, d'après le jour des calendes de janvier ou d'après le jour où tombe Noël. Il existe des pronostics d'après le jour du mois lunaire, indiquant quoi faire ou ne pas faire tel jour (astrologie hémérologique) ou quel est le destin et le caractère de la personne, homme ou femme, née ce jour-là (astrologie physiognomonique). Plus chrétiens sont les sortes sanctorum (les sorts des saints), livres comportant une liste de 56 réponses dont chacune est précédée de chiffres.

    La physiognomonie se développe surtout avec Michel Scot (Physionomia, avant 1230), Pierre d'Abano (Liber compilationis phisionomie, 1295), Michel Savonarole (Speculum phisionomie, vers 1450), mais le grand auteur reste Lavater (La physiognomonie, 1775-1778).

    Hugues de Saint-Victor, vers 1135, dans son Didascalicon, distingue cinq types de magie, dont deux divinations : la mantique, les mathématiques. La mantique regroupe la nécromancie, la géomancie, l'hydromancie, l'aéromancie, la pyromancie ; les mathématiques regroupent l'haruspicine, les augures, les horoscopes.

    La géomancie, venue de chez les Arabes au XIIe siècle, et qui consiste à interpréter les figures formées de quatre échelons de points pairs ou impairs et placés dans des cases, commence avec Hugues de Santalla (Ars geomancie), se développe grâce à Pierre d'Abano à la fin du XIIIe siècle (Geomantia), à Gérard de Crémone (Géomancie astronomique).

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    Je suis KURTIS, né le 14 Aôut 1981, à 10h15 en lorraine, au coeur d'une petite ville de Meurthe et Moselle. Je n'étais pas une enfant désiré, mais un manque de prise de précaution de la part de mes parents. 

    L'unique échographie passée à cette époque, laissait paraitre une petite fille, dans le moniteur très différent d'aujourd'hui. Par conséquent, mon père était content, mais lors de ma venue au monde, il a vu que j'étais un petit garçon de 1kg200, donc une grande déception est apparue sur son visage, selon les dires de ma mère, il en était même partie de la salle d'accouchement.

    Je suis quand même là, depuis 1981 et j'ai 30 ans, fort d'esprit et de caractère, car mon entourage ne m'a pas fait de cadeau dans mon enfance. Ni même les personnes que j'ai aidés dernièrement, la vie est faîte de bon et de moins bon.

    KURTIS  Proverbes


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