• Découverte de Kurtis et Visions

    Je suis KURTIS, j’aimerais me dévoiler un peu plus, afin que vous puissiez me connaître d’avantage.

    Mon prénom KURTIS est d’origine Anglaise, connu surtout en Amérique souvent dans les séries Américaines, la variante est CURTIS.

    KURTIS  possède une forte personnalité, ce qui lui confère de l'ascendant sur autrui. Il se montre actif, énergique, dynamique et courageux, et son tempérament est passionné. Adaptable et malléable en apparence, il saura faire valoir ses droits et ses idées avec douceur, certes, mais aussi avec une pointe de machiavélisme et, le cas échéant, de fermeté : une main de fer dans un gant de velours... Il a de multiples projets, de grandes idées, encore faut-il qu'il soit capable de les mettre en application. L'action est cependant son exutoire, car sa grande nervosité ne le met pas totalement à l'abri de crises émotionnelles. Si l'intensité du moment présent lui semble trop forte, il pourra vivre une octave au-dessous, sous l'influence du nombre : il subira alors davantage son destin et restera dans un rôle de second rang, mais cela lui permettra de mener sa vie plus confortablement, sur un rythme moins trépidant. Pourtant, en règle générale, il est stimulé par la difficulté. Son sens de la justice est très aiguisé, et il a des réactions violentes devant toute iniquité. Ce qui est humain ne lui est point étranger et il possède souvent un idéal fraternitaire qui le fait s'intéresser à autrui ou adhérer à des groupes et à des associations à but social ou politique. C'est aussi un homme intuitif bien qu'il préfère afficher son esprit logique... Il peut osciller entre une possessivité absolue et un certain altruisme. Enfant, KURTIS est volontaire, bon élève car travailleur, actif. Parfois très perfectionniste, voire maniaque, dans un domaine particulier, il s'avère paradoxalement indiscipliné dans un autre. Les activités de groupe sont à favoriser et permettront de développer son sens de la solidarité. Il peut aussi y avoir chez lui une alternance assez déconcertante de suractivité et de laisser-aller.

    KURTIS aime sa famille et fera beaucoup d'efforts pour conserver une bonne harmonie avec ses proches. KURTIS   est un adepte de la paix même s'il lui arrive parfois de déclarer la guerre. Il a souvent un sens esthétique développé qui le fait s'intéresser à l'art. Il recherchera le confort d'un nid douillet. En amour, il est souvent difficile car il cherche la perfection. Aussi, à cause de ses intransigeances, risque-t-il de passer à côté du bonheur sans le voir. Dirigiste et pointilleux, imbu de grands principes, il n'est pas toujours facile et risque de rompre un peu vite en pensant toujours trouver la perle rare. Mais existe-t-elle ?

      

    Je suis né le 14 Août 1981 dans le Nord Est de la France. Mon signe astrologique est Lion ascendant Balance.

    Le profil du Lion ascendant Balance

    Mon Profil général :

    Globalement, je suis très à l’aise avec tout ce qui m’entoure je suis très sociable et j’ai beaucoup de facilité dans les relations humaines. Les amis sont un élément central dans la vie des Lions

    L’ascendant Balance. Je suis doué d’une grâce exceptionnelle et on me croirait presque né pour plaire et charmer.

    Je suis naturel et raffiné, élégant avec un sens esthétique inné.

     

    Personne de talent, je possède  une certaine fibre artistique. En tant qu’homme, certains iraient presque à dire que je suis un peu efféminé, mais ma délicatesse en troublera plus d’une, soyez-en sûrs !

    Avec toutes ces qualités, j’ai pour le moins une haute opinion de moi-même.

     

    Profil amoureux :

    Les Lions ascendant Balance sont des personnes qui n’acceptent pas le fait de ne pas être aimés. Ils ont toujours besoin de flatteries et de compliments pour gonfler leur égo, avec également un penchant prononcé pour le luxe et le précieux.

    Ce profil est un profil agréable à vivre, je fais le bonheur de mon entourage, très bon orateur, j’ai toujours quelque-chose à raconter en tenant mon public en haleine.

    ba 

     

    Visions terrifiantes…

     

    Je capte des éléments du passé, présent et futur depuis tout petit, je ne saurais dire depuis quand exactement.

    Des anecdotes, j’en ai beaucoup dans le domaine du « paranormal », mais je vais vous révéler un moment de malaise que j’ai vécu au travers ce que je peux percevoir.

     

    A une certaine période de ma vie, j’étais fiancé à Ludivine (prénom fictif), qui travaillait pour les personnes âgées en fin de vie. Les matins en rentrant à l’appartement où nous vivions, elle me parlait souvent de ce monsieur très malade qu’elle gardait essentiellement la nuit, (Monsieur Andrew).

     

    Plusieurs mois après l’observation et ses gardes de nuit chez Monsieur Andrew, elle me confia qu’elle ressentait une présence la nuit, lorsqu’elle le veillait et s’en occupait. Ludivine me révéla, que chaque soir de garde, des évènements étranges se produisaient. Elle pouvait entendre des chaises se déplacer à l’étage, les portes de chambre claquer, des bruits de pas, sentir des courants d’air, avec des frissonnements par moment sur tout le corps. Elle me précisa aussi, qu’elle parlait à Monsieur Andrew et qu’il lui disait qu’il conversait avec sa femme et qu’il pouvait la voir, sachant que sa conjointe était décédée depuis une dizaine d’années, il y avait de quoi se poser des questions et de se sentir mal à l’aise…

     

    Madame Antonia, la voisine de Monsieur Andrew, le connaissait depuis plus de 20 ans, elle avait connu sa femme et vu les enfants grandir, elle s’en occupait chaque jour et parfois la nuit, depuis que son état s’était dégradé et la mort de sa femme. Ses enfants ne lui parlaient plus, pour des raisons de biens et d’héritages.

     

    Antonia relata des moments angoissants qui s’étaient produits dans cette maison à Ludivine et toutes deux se faisaient des frayeurs. A un moment Ludivine parla de moi à Antonia, en lui expliquant que j’avais des capacités à prédire l’avenir, ressentir les énergies positives ou négatives, mais aussi percevoir le passé avec beaucoup de précision entre ’autre.

     

    Un matin comme tous les autres, avant de rejoindre mon poste de travail, je reçois un appel de Ludivine, (jusque-là rien d’anormal). Elle me demandait si j’allais bien, si j’avais bien dormi,…

    Je sentais dans sa voix qu’elle voulait me demander quelque chose, alors je lui ai demandé de me dire ce qu’elle désirait et de ne pas « tourner autour du pot » pendant une heure.

    Elle me dit : « daccord, en fait, Antonia et moi aimerions que tu passes un soir de la semaine chez Monsieur Andrew, afin de nous dire ce que tu penses de son état et si tu ressens toi aussi des faits invisibles et étranges ».

     

    Surpris de cette demande, je lui ai demandé pourquoi ? Elle ma dit : « je sais que tu perçois et pressens des choses, j’en ai parlé à Antonia et cela nous rassurerait d’avoir ton avis ».

    Donc, j’ai accepté, sans trop réfléchir et j’y suis allé le soir même.

     

    Vers 19h30 en période hivernale, nous sommes partis chez ce Monsieur Andrew, nous avons traversé tous les petits villages, avec des routes dangereuses. De plus il neigeait, je pense que ces difficultés n’étaient pas un hasard, mais bon, nous sommes arrivés à destination, sains et saufs.

     

    Arrivés devant la maison du Malade, c’est Antonia qui nous a ouvert la porte, elle nous attendait chaleureusement, avec un grand sourire et la joie de faire ma connaissance (elle avait beaucoup entendu parler de moi à travers Ludivine), ce qui me mit à l’aise rapidement.

     

    Je posai le premier pas devant la porte, derrière, se trouvait un grand couloir sombre, déjà à cet instant précis où j’ai appuyé mon pied sur le plancher, tous mes sens se mirent en action. J’avais une odeur de brûlé qui me piquait les narines et qui était très forte, j’avais très froid, des frissons dans tout le corps et la bouche sèche. Plus j’avançais et plus ma vision changeait, je voyais petit à petit de la lumière, celle du soleil au fond du couloir, derrière la porte du fond qui menait au jardin. La porte était ouverte et j’entendais des enfants jouer, crier d’amusement, le bruit de l’eau d’une piscine, des rires et soudain, plus rien, j’étais revenu à la réalité. Antonia et Ludivine me regardaient, blanches comme neige et m’ont dit : « tu as eu un moment dabsence, tes yeux étaient livides, mais quest-ce que tu as vu ? », évidement, dans l’état de peur où elles étaient déjà, je nallais pas leur dire, alors jai répondu que jobservais la maison, du sol au plafond et que c’était rempli de charme, c’est tout ce que j’avais trouvé à dire.

     

    Je continuai à suivre Antonia et Ludivine, dans ce couloir et nous entrâmes au sein d’une pièce, c’était une salle de repos avec une grande table entourée de chaises anciennes et sur la droite, il y avait un grand espace où se trouvaient des chaises, deux lits, une télévision et d’autres petits meubles.

    Monsieur Andrew était là, dans son lit médicalisé, les yeux ouverts mais vides et il gémissait de douleur, j’étais anxieux, pale comme un mort, je n’osais pas bouger, ni même parler. Ludivine en professionnelle exemplaire, parla assez fort à Monsieur Andrew  »-Monsieur, Monsieur, mon ami est là, vous vous souvenez je vous en ai parlé ce matin avec Antonia » et à cet instant son regard changea et il répondit : « Oui, j’ai soif », sa voix était presque inaudible, mais elles avaient l’habitude et comprenaient ce qu’il réclamait.

    Je me mis assis sur un lit qui faisait aussi office de fauteuil juste en face du sien, je pouvais voir tous les tuyaux qui sortaient de partout sur son corps. Un sonde urinaire, des tuyaux dans le nez et d’autres avec du sang, aussi une machine qui affichait son pouls, sa tension, son rythme cardiaque et j’en passe, de quoi se sentir bien à l’aise, n’est-ce pas.

     

    Antonia me donna un verre de jus d’orange, vu mon teint blême j’en avais bien besoin, et elle se mit à me poser tout un tas de questions. Ludivine me connaissant par cœur, lui demanda de patienter un peu, qu’on était pas pressé, ce qui me soulagea un peu, car à peine arrivé, j’avais déjà l’impression d’avoir fait un parcours du combattant.

     

    La lumière était tamisée, pour ne pas éblouir Mr Andrew, Antonia était assise sur une chaise à côté de son lit et Ludivine était assise à côté de moi sur le lit, en face de lui.

    Il parlait en gémissant, impossible de comprendre ce qu’il disait, Antonia lui parlait, et vérifiait toutes ses machines. Ensuite, elles discutaient entre elles de choses et d’autres. Moi j’écoutais, mais mon attention était sur Monsieur Andrew, j’avais mal pour lui et j’écoutais ce qu’il articulait, quand soudain des visions apparurent.

    J’avais des images en noir et blanc, j’étais en période de guerre, je voyais des armes, casques et uniformes. Je voyais des Allemands, j’entendais des phrases, mais ne comprenais pas leur sens. J’avais des images terrifiantes de gens qui se dirigeaient dans des locaux pour se faire brûler, des pendaisons, des coups de fusils à bout portant. D’autres n’avaient que la peau sur leurs os par manque de nourriture et leur peau était noire de crasse. Je compris que je voyais des informations, sur la deuxième guerre mondiale, avec le camp de concentration, appelé Auschwitz. J’étais projeté en 1943, dans mon esprit, comme si j’y étais, je me sentais très mal, triste, apeuré en même temps, les enfants pleuraient, les gens se faisaient tuer, massacrer par des Nazis.

     

    Je ressentais comme un millier de pics de glace, me transpercer de toute part, paralysé par la peur, mon souffle était coupé et des larmes inondaient mes yeux tellement je me sentais mal. Je souhaitais que tout s’arrête, je n’avais aucun contrôle sur moi-même, une force invisible me contraignait à voir des moments de terreurs, à endurer cette douleur si bien que j’ai cru que mon cœur allait cesser de battre pendant l’espace d’un instant.

     

    J’avais eu l’impression que ces images que je voyais, avaient duré une éternité, mais en réalité je suis resté immobile et raide, « selon Ludivine », le regard fixe et vide, comme si j’étais parti de mon corps, à peine deux minutes. Je repris mes esprits et j’étais en angoisses totales. A peine le temps de regarder Monsieur Andrew, qu’Antonia me posa de suite des questions sur ce que je venais de sentir ?

    J’ai commencé à parler en regardant Monsieur Andrew, je ne pouvais pas enlever mon regard ou le changer de direction, alors je me mis à dire ce que je venais de voir et ressentir.

     

    « J’ai vu des Allemands, des morts, des gens se faisaient tuer par des militaires, étaient pendus, n’avaient pas de quoi se nourrir, tout était en noir et blanc. J’étais spectateur, avec l’impression de vivre toutes les douleurs. J’ai vu un homme, assis à une table, on le forçait à manger de la viande, il aurait dû être content, puisque personne n’avait de quoi manger, mais je le voyais terrifié, en larmes, presque comme si on lui faisait manger des insectes ou je ne sais quoi »

    En leur contant cela, je vis Antonia pleurer à chaudes larmes, sans comprendre, et Ludivine lui demanda ce qu’elle avait. Antonia, commença à dire :

     

    « Ludivine, tu n’es pas au courant, je ne t’en ai jamais parlé, mais il faut que tu saches que Monsieur Andrew est un homme qui a souffert toute sa vie »

     

    Nous écoutions et attendions la suite, car elle avait encore envie de nous parler au sujet de mes visions à ce moment précis, dévoilant ce que la femme de Monsieur Andrew lui avait confié à l’époque, donc elle continua :

     

    « Charles (son prénom), a été forcé de manger de la viande humaine, en plus que ce soit une personne, cette personne qu’il  a dû avaler était sa sœur, tuée par les Allemands »

     

    Je peux vous assurer que lorsque j’ai entendu cela, je me suis senti choqué, je ne voulais pas comprendre, pour moi ce genre d’évènement n’existait pas, une telle punition n’aurait pas dû avoir lieu. Antonia nous expliqua que cette action d’horreur lui avait été infligée car il faisait de la résistance, ce qui n’avait pas été apprécié des allemands, qui étaient des hommes dirigés par un dictateur, sans cœur, ni âme. Ludivine en avait les larmes aux yeux et était très affectée de savoir ce que le « Papi » avait dû endurer comme épreuve.

    Je ne savais pas pourquoi je devais connaître son histoire ? Qu’elle était notre rôle dans sa vie ? Je sais que rien n’est lié au hasard, donc cela devait avoir un sens, mais lequel ?

     

    Je n’ai pas eu d’éléments sur sa femme, ni ressenti sa présence, mais d’après Antonia, elle était parmi nous, je n’ai pas cherché à comprendre comment elle le savait, je ne voulais pas la contrarier, donc j’ai fait style qu’elle avait certainement raison.

    Les images que j’avais eues en entrant dans cette maison, étaient du passé, elles me montraient que cette grande maison vide avait été une demeure remplie de joie et de vie et qu’au moment où nous y étions, tout était sombre, vide, la mort était dans cette maison, comme la fin d’une histoire, je tournais la dernière page d’un livre qui se termine.

     

    Nous sommes repartis, dans un état émotif intense, j’en voulais à Ludivine de m’avoir emmené le voir, mais après mon départ, Monsieur Andrew ne gémissait plus, il restait calme, apaisé mais il n’était plus connecté à la réalité du tout. Deux jours plus tard, ce monsieur s’éteignait sans souffrir, ce qui donna beaucoup de chagrin à Ludivine pourtant préparée puisque je lui avais dit que je sentais sa fin proche.

     

    Avec du recul, j’ai pu comprendre mon intervention dans sa vie, c’était que je devais partager sa mémoire et faire connaître son histoire, pour le soulager de ses traumatismes, pour enfin passer de l’autre côté. Révéler ce qui le tourmentait pendant toutes ces années, lui a permis d’être soulagé, compris et pardonné de son acte, ce qui l’a libéré.

     

    La maison fut vendue par ses enfants à un couple avec deux enfants et ce couple au bout de six mois l’a revendue à un jeune couple sans enfant. Il y a eu une catastrophe naturelle avec inondation et vent violent. A ce jour cette maison est de nouveau en vente depuis des années, comme à l’abandon, le couple de jeune gens est parti suite aux dégâts matériels de la catastrophe naturelle. L’assurance avait bien pris en charge les réparations, mais eux ont décidé de vendre et partir de cet endroit, sans plus d’explication. Dans le village, la rumeur dit que la maison est hantée, par une femme.

     

    Est-ce vrai ? Ceci reste un mystère…

    KURTIS

    « Cabinet Kurtis Médium PurConsultations en privé »

  • Commentaires

    4
    mel ina
    Samedi 29 Juin 2013 à 01:42

    Kurtis, un médium magique, bluffant, rassurant, sans complaisance.. Depuis deux ans tout ce qu’il m’a prédit c’est réalisé. Cette semaine, le visu prévu pour jeudi c’est réalisé alors que je n’y croyais pas du tout, c’était vraiment mal parti… Je n’y croyais pas ! Il l’as vu et ça c’est fait . Il a vu les résultats d’examen de ma mère à la perfection en me disant qu’elle n’avait pas la chose que les médecins lui trouvait, mais autre chose que ce n’était rien de grave. Résultat aujourd’hui, les médecins c’était bien trompé ! Le seul ennemi de Kurt ?! Le temps, comme tout grand médium. Il reste le meilleur !!! Merci pour tout ce que tu m’apportes en permanence ! Un vrai pro, de la gentillesse, un cœur plus que gros comme ça,de la sensibilité et une grande ouverture d’esprit ! Un ange. Merci

    3
    Siriella
    Lundi 20 Mai 2013 à 06:10

    Bonjour Kurtis,

    Cette histoire est très émouvante, pénible, alors j'imagine un peu ce que tu as pu éprouver en ressentant toute cette horreur incommensurable, avec ces malheurs, les douleurs etc... ce devait etre une vision cauchemardesque. Hélas tout ceci a bien existé et même pire encore. Et M. Andrew devait en effet se libérer de tout cela avant de partir en paix, et tu l'as ainsi aidé. C'est vrai que rien n'arrive par hasard. Merci de nous avoir fait partager ce témoignage très touchant et qui en dit long.

    Et merci d'etre là pour nous apporter des réponses et nous guider. Bisous du coeur. Sergine 

     

    2
    MEL28
    Jeudi 7 Mars 2013 à 14:40

    Coucou Kurt,

    Quelle belle histoire, en même temps si peinante ! J'imagine que ça dû être très dur à vivre, voir horrible... Quel tristesse dans la vie de Charles . Ce qui prouve que tu es très bon et encore merci d'être là. Bizoo

    1
    chryst
    Jeudi 7 Mars 2013 à 13:34

    bonjour Kurtis,

     

    J'adore ces quelques pages qui parlent de toi et de tes visions. J'ai vraiment aimé. En espérant que tu auras d'autres histoires à raconter. Je trouve que tu es un très bon médium et un bon conseiller.

    Bises Chrystelle

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